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Lerafredead !!
6 mai 2006

A & A 2

Il écrivait.

« J’ai eu grande peur en recevant ta lettre. Peur que l’on me surprenne a avoir une vie, et qui plus est, ala partager avec un mage. Une mage d’ailleur, pour en rajouter. Le second est dur, avec les nouveau en general et avec moi en particulier. Cependant les ordres sont juste et je n’ai rien a redire. J’ai deja tellement par ce courrier.

Je vais a peu pres bien. La vie a bord est un coup a prendre et j’ai la chance d’avoir fait remarquer mes prouesse acrobatique assez tot pour ne pas me retrouver au nettoyage ou a la cuisine. Je passe mes journée dans le gréement et finelement, je me fais a cette vie, bien que l’idée de la bataille m’éffraie encore terriblement. Entre mes insomnies et mes quart nocturne, je ne ferme plus l’œil, et le sel, partout, se faufilant dans chaque chose, les tissus, les articulation les rouage meme de la vie et surtout dans la nourriturre, me tient en eveil.

J’ai discuté un peu avec un marin, un ami. Lui est marin de longue date, et je souhaite quitter la marine avant de lui ressembler. Notre duo s’est fait une petite reputation sur le bateau, celle de l’efficacité. Evidement, entre marin, une autre rumeur s’est repandue mais une jeune fille de votre rang n’as pas a la savoir. Et de toute facon, vous connaissez la verité, et pour moi c’est cela qui compte le plus.

Je vous prierai, si ce n’est trop demander, de m’envoyer de l’encre si vous le pouvez , car si les plumes de mouettes ne manque pas sur le pont, je n’arrive pas a convaincre le coq de garder l’encre des seiche qu’il nous serre. Trop salissant pretend il.

J’espere que Tom va bien et je vous souhaite bon courage. Je n’ai pas a juger ta decision, je suis absent et toi seul saura faire le bon choix.

 

Ton aimé au lointain, Anselme »

 

Le garcon frele relu sa lettre avec un peu de recul, appuyé sur le fond de cale, casé entre deux caisse qui bougeait un peu avec le remous. Sa tenue de marine, d’un vert sombre, parassait propre mais seche et rigide. Le bandeau rouge qu’il portait marquait son grade de mousse et laissait depasser deux meche blonde qui partait en boucle a leurs pointes. Il se releva, du plus haut que lui permettait la cale, et se dirigeat vers l’ecoutille. Il ressortit et s’equiva tandis qu’il apercevait le second sur le pont, en discussion profonde avec un autre vieux marin. Le second etait un homme de bonne carure, autant apte a tenir une barre fougueuse par temps de fin du monde qu’a se monter en vigie pour sermonner un feignant a peine endormi. Mais Anselme n’avait jamais vu ce marin.

-Psst. Le murmure dans la penombre le fit sursauté, mais il retint son cri.Il leva la tete pour apercevoir son ami Ferme dans le gréement, juste au dessus de lui. Le vieil homme était incroyable. Il etait long et fin comme le garcon blond, mais l’age et l’experience avait faconnée son corps comme une aiguille de pierre. Chacun de ses muscle solide etait long et etendu demesurement sur ses proportion agiles. L’homme paraissait fait de corde nouée, et la finne chemise humidifiée par vent marin flottait aisement sur l’homme. Son pantalon de corsaire jurait un peu avec l’uniforme du garcon, mais l’experience du marin et son talent de voltige lui permettait certain privilege.

-Grimpe mon garcon, avant qu’il ne te voit.

Du geste rapide, preque familier a present, Anselme sauta dans le gréement et, apr reflexe, monta a mi hauteur.

-Qui est t’il, celui qui parle avec le second, je ne l’ia jamais vu a bord… A moisn que ce soi..

-Non, j’ai deja vu le capitaine, et il n’as pas cet air de l’Ouest. Suis moi, je ne veut pas louper la fin de leur conversation…

-Mais…si le second nous voit

-Il ne nous vera pas, et apres, il n’y a rien de pire que l’avenir… Le vieil homme comencait deja a se deplacer dans le complexe gréement du bateau a moitié mecanique, et la garcon le suivit.

L’homme qui discutait avec le second etait presque brun, un veritable ours. Large d’épaule et vouté, il semblait cependant grand, comme finelement, beaucoup de marin. Anselme se dit qu’il devait en etre, et surement de la Marine lui aussi. Mais son visage renfoncé, ses petit yeux et sa barbe épaisse était bien les trait des gens de l’Ouest. Anselme lanca un regard a Ferme, qui le lui rendit, suspicieux. Quand il reporta son regard sur les deux homme, le second s’était tourné et le regardait fermement.

-Vous etes levé, tant mieux ! ,Il se retourna vers l’étrange marin., Cet homme et ce garcon sont mes deux plus agile soldat, et il seront ravi de porter la nouvelle au quartier concerné. Messieur, (il se tourna a nouveau vers eux), Monsieur Ferme, vous previendrez les homme de rang et les ingenieur et vous mon garcon, vous porterez ce message au capitaine, il ne doit pas dormir a l’heure qu’il est.

-Que…quel message Monsieur ?

-Nous seront demain en pleine mer de bataille, et nous livrerons combat contre l’embuscade Trietienne de la Plaine des Phoques, a deux milles d’ici. Reveillez tout le monde et dites leur de prendre les mesure qui s’impose, nous somme en guerre.

Sur ces mots, Anselme manqua de lacher sa corde de soutien, mais se rattrapa a temps et fit mine de partir. Il sauta dans l’ecoutille menant au quartier des commandeur, et s’assis, reprenant son souffle. Il allait en guerre, l’aspect du soldat allait depasser celui de marin… Il etait certain de mourir dans les prochaine heures et pourtant, il ne pouvait pas y penser. Il pensait a Abigaelle. Un bruit derriere lui le ramenan a la raison. La porte au fond du couloir des commandeur venait de s’ouvrir et dans le faisceau jaunatre qui eclairait le corridor se tenait une masse imposante. Anselme n’avait jamais vu le Capitaine Barguain, mais il en avait entendu parler. Mais il n’aurait pas pensé que TOUT était vrai.

 

Le Capitaine Barguain etait d’abord grand, mais il s’en doutait, les marin était d’habitude grand, fort et large, bien que lui-même ne l’etait pas. Mais Barguain  était TRES grand, TRES fort et TRES large. Il laissait passer un infime faisceau de lumiere, ses deux metre de taille cachant quelque vue de l’interieur de ses quartier. Les bras ballant, son lang manteau brun sur les épaule, une main dans la poche et la tete baissée, il leva un de ses épaix sourcil sourcil pour jeter un coup d’œil a Anselme. Son visage etait celui d’un homme qui avait tout vu, et qui au final n’avait rien apprit de plus que le necessaire. Et pourtant, il savait parfaitement responsable. Le visage creusé, comme taillée dans le bois humide, regardait l’enfant tetanisé. Son regard percant au fond de ses orbites sombres paraissait attendre quelquechose, mais le garcon restait sans voix devant cette masse imposante. Le long manteau brun parsemé de large bandoulierre de cuir auquelle pendait tout un fourbi d’outil de marin etait impecable et son large pantalon couturé grossierement rappelait au blondinet le statut militaire de l’homme. D’une voix grave, l’homme gronda

-Garcon, ce message te concerne aussi, alors cours te preparer.

Le temps qu’il se releve, le capitaine l’avait dépassé et avait grimpé l’echelle pour monter sur le pont. Autour de lui, dans tout le bateau, Anselme entendait l’etrange ronronement des machines a vapeur qu’il avait pourtant toujours assimilé au bonne ville de la pleine terre. A travers le bois goudronné du navire, il entendait la petite centaine de marin s’equiper et s’armer, charger leur canons sous pression et preparer les feux a goudron.

En ressortant, il saisit dans sa poche la lettre de sa bien aimée. Il allait survivre, il n’avait pas encore envoyé sa reponse.

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Commentaires
K
Hum... j'ai pas compris pourquoi le garçon vouvoie Abigaelle et qu'ensuite il la tutoie dans la fin de sa lettre!<br /> <br /> Mais que va't-il donc se passer?? XD
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